La loi sur les mobilités ne déçoit pas, sauf sur le transport routier

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(Crédit : MTES)

Un gros effort pour entretenir le réseau routier existant, développer le transport ferroviaire, booster les transports en commun, les mobilités douces ou « propres » – notamment via un soutien accru aux bornes de recharge et au bioGNV – et faire sauter des verrous à l’innovation, par exemple le partage de données des actuels opérateurs de mobilité. Le projet de loi sur les transports – dite loi d’orientation des mobilités, Lom, consultable ci dessous – présenté aujourd’hui en Conseil des ministres n’est pas décevant. Il prévoit la bagatelle de 13,4 Mds€ d’investissements d’ici 2022, soit 40% de plus par rapport à la période 2013-2017, fléchés non vers de nouvelles LGV ou autoroutes mais vers l’entretien des routes actuelles et du réseau ferroviaire – le train est le grand gagnant de cette Lom -, le désenclavement des territoires ruraux, le renforcement du nombre de trains et de transports en commun moins polluants.

Les camions échappent au radar

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