Véhicules électriques : Gireve tisse la toile entre les réseaux de charge

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L'interface Gireve telle qu'utilisée par Renault pour ses clients
L’interface Gireve telle qu’utilisée par Renault pour ses clients

Créé en 2013 à l’initiative de Renault, EDF, ERDF, CNR et la CDC, le groupement pour l’itinérance de la recharge électrique des véhicules Gireve accompagne depuis trois ans la montée en puissance du véhicule électrique et de son nécessaire support, l’infrastructure de recharge. Mais en guise de réseau national, c’est encore un patchwork dont doivent se contenter les usagers, d’où la mission de Gireve d’harmoniser le tout. Explications avec Vianney Devienne, responsable commercial et marketing de l’entreprise, qui compte une dizaine de salariés.

Unifier le réseau national

Gireve poursuit un triple objectif : recenser les bornes de recharge accessible au grand public, en France et en Europe, réaliser leur interopérabilité et permettre leur suivi en temps réel. Le but ultime est de rendre l’usage de la voiture électrique le plus simple possible pour les automobilistes. Pour autant, Gireve ne travaille qu’avec les opérateurs de mobilité électrique à qui elle fournit les clés pour fluidifier les choses.

Car pour l’heure, « le » réseau national d’infrastructures de recharge est loin d’être unifié : « on recense précisément 12 794 points de charge accessibles au public en France », explique Vianney Devienne. « Mais ce sont en fait une soixante de réseaux différents, établis à ...

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