Tout reste à faire dans l’effacement électrique “vert”

Print Friendly, PDF & Email
(Crédit : Uniper)

Comme le craignaient les opérateurs spécialisés fin septembre, l’appel d’offres sur les capacités d’effacement de consommation électrique, pour l’année prochaine et pour contribuer à soutenir le réseau en cas de crise, n’a pas dégagé de gros moyens : 770 MW ont été retenus par RTE et la DGEC*, alors que 2,9 GW étaient disponibles en théorie. Le volume est néanmoins en hausse de 31% par rapport à la sélection pour 2019, lors de laquelle seuls 590 MW avaient été gardés pour être aidés financièrement.

En fait, l’AO 2020 retrouve le niveau de 2018 (733 MW). Mais loin de parler d’un nouvel échec, RTE préfère insister sur un effacement désormais 100% « vert », c’est-à-dire ne faisant appel qu’à des diminutions de consommation nettes, non compensées par des groupes électrogènes au diesel, dit effacement « gris ». Comme ...

Accédez à l'article complet

GreenUnivers, le média des professionnels de la transition énergétique.

Je m'abonne
  • Une veille quotidienne de l'actualité
  • Des baromètres et data exclusifs depuis 2008
  • Des invitations à nos conférences
Déjà abonné ?
Je me connecte

Article précédentCITE : le gouvernement revoit (un peu) sa copie
Article suivantL’agenda du green business