
Inquiétude croissante chez les fournisseurs alternatifs d’électricité, y compris chez ceux qui proposent une version verte non premium, c’est-à-dire nourrie d’électricité nucléaire assortie de garanties d’origine souvent étrangères. Les concurrents d’EDF, dont le volume d’activité augmente, craignent que leur part d’électricité nucléaire (via le mécanisme Arenh*) ne bouge pas. La loi Energie-Climat, votée au Sénat vendredi prochain, permet en effet de porter le plafond de 100 TWh/an à 150 TWh/an, mais n’y contraint pas le gouvernement.
Moins d’Arenh, plus de trading
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