Repris par Nimbus, le site Franceole de Dijon reste dans l’éolien

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(Crédit : Francéole)

Bonne nouvelle pour les 55 salariés de l’usine Franceole de Longvic, près de Dijon (Côte d’Or) : le tribunal de commerce de Chalon-sur-Saône a validé, le 29 septembre, le projet de reprise du fonds d’investissement néerlandais Nimbus. Ce qui sauve le seul producteur français de mâts éoliens en acier. L’autre site de Franceole, au Creusot (Saône-et-Loire), avait lui été attribué au groupe Matière il y a moins d’un mois, mais il sera reconverti dans la fabrication de ponts en métal, la spécialité du repreneur.

Poursuite de la production de mâts

Le projet de Nimbus [am4show have=’g1;g2;g4′ user_error=’Please_Upgrade’ guest_error=’Please_Subscribe’]prévoit la poursuite de l’activité éolienne avec le maintien des 55 salariés. Il propose également un reclassement à 12 salariés licenciés du Creusot.

Franceole a réalisé 29 M€ en 2016, mais sa trésorerie était exsangue. L’entreprise de 158 personnes a d’abord cherché à céder ses deux usines à un seul et unique repreneur, en vain.

Basé aux Pays-Bas, Nimbus cible les entreprises industrielles européennes de taille moyenne (10 à 500 M€ de chiffre d’affaires), qui détiennent de solides positions ou sont sur un marché prometteur mais ont besoin d’une restructuration. L’ensemble de ses participations représente un chiffre d’affaires annuel de plus d’un milliard d’euros. [/restrict-content]

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