Dans quelques mois, les contrats d’agrégation d’énergies renouvelables pour la vente sur le marché, dans le cadre du complément de rémunération, seront monnaie courante. Pour l’instant, ils émergent, plutôt dans le secteur l’éolien. C’est le cas pour Statkraft. L’énergéticien public norvégien (56,3 TWh d’électricité renouvelable en 2015, 81% de la capacité est hydroélectrique), déjà leader de l’agrégation en Allemagne, a conclu le 23 mars sa toute première affaire en France. C’est le premier grand énergéticien européen à annoncer un contrat de ce type dans l’Hexagone. Le spécialiste tricolore Hydronext a pour sa part bouclé un premier deal « complément de rémunération » fin février et son concurrent d’origine allemande Centrales Next déclare avoir fait de même sur plusieurs affaires.
Trois turbines pour commencer
De son côté, Statkraft achètera la production ainsi que les certificats de capacité d’un parc de trois turbines et 6,15 MW de puissance à Hamelincourt (Pas-de-Calais), qui sera construit en 2018. L’actif appartient au ...
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