L’hydrogène et la pyrogazéification prennent de plus en plus d’importance dans l’agenda de GRTGaz. Le réseau de transport gazier français a enregistré l’année dernière « trente demandes de raccordement de projets de toute nature pour l’injection de gaz de synthèse issu notamment de pyrogazéification ou d’hydrogène », a annoncé aujourd’hui Thierry Trouvé, son directeur général, lors d’un bilan sur l’activité.
Des molécules H2 sont déjà acheminées depuis le démonstrateur Jupiter 1000 à Fos-sur-Mer (Bouches-du-Rhône), depuis un an. GRTGaz a identifié une quinzaine d’acteurs engagées sur des projets de production mixte, méthane et H2, par pyrogazéification : “ce gisement représente jusqu’à un tiers de la consommation de gaz dans les scénarios pour 2050”, rappelle Thierry Trouvé.
800 km à construire pour l’hydrogène
En parallèle, la filiale d’Engie travaille avec dix homologues ...
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