Entretien avec Bruno G. Geschier, directeur marketing et commercial d’Ideol, président du comité World Forum Wind Offshore –
Taïwan, Californie, Afrique du Sud, Canaries … : l’intérêt pour l’éolien flottant va croissant partout sur la planète et suscite des annonces de la part d’énergéticiens, de développeurs et de start-up. Mais où sont les marchés confirmés ? Et où en sont-ils ? Tour d’horizon avec Bruno G. Geschier, en charge du développement commercial du fabricant français de flotteurs Ideol, pionnier du secteur avec le norvégien Hywind (Equinor) et l’américain Principle Power.
GreenUnivers : L’intérêt pour l’éolien flottant est vif un peu partout dans le monde, là où les fonds marins plongent rapidement. Mais au-delà des déclarations d’intention, où se trouvent les vrais “hot spots” du développement ?
Bruno Geschier : Pour le savoir, il faut croiser trois critères : des objectifs nationaux en termes d’éolien offshore, une politique environnementale favorable, un cadre réglementaire et tarifaire approprié. Une bathymétrie propice à proximité de zones urbaines étant par ailleurs sous-entendue. Trois pays se qualifient pour l’instant : la Grande-Bretagne – en l’occurrence l’Ecosse – la France et le Japon. De nombreux endroits du monde sont certes propices, comme la Californie, Taiwan, ...
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