« Les certificats doivent tracer toutes les formes de production d’électricité, pas seulement le renouvelable. Ils doivent aussi proposer une granularité au pas horaire », affirme Google dans un rapport* sur sa politique pro-climat publié en février. Il ne s’agit pas d’un vœu pieux, mais du cadre général d’une action bien concrète engagée par le géant d’Internet, aux Etats-Unis et au Danemark pour commencer. Elle consiste à créer un outil de traçage précis de l’électricité achetée pour ses data centers, à mesurer à quel point elle contribue réellement à décarboner le mix électrique, à chaque heure toute l’année et à définir un standard.
Les T-EACs à la place des GO
Aux yeux de la firme californienne, les garanties d’origine (GO) européennes et les certificats d’énergie renouvelable américains sont obsolètes, y compris les nouveaux titres établis au pas mensuel depuis janvier. Une position qu’elle partage entre autres avec Microsoft, qui travaille aussi sur le sujet. « Lorsqu’elle ...
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