Les éoliennes testées par la tempête Ciaran

Print Friendly, PDF & Email

Les bourrasques de la tempête Ciaran ont secoué l’ouest de la France. Avec des dégâts matériels importants : arbres arrachés, toitures envolées… Elles ont aussi mis à l’épreuve les infrastructures d’énergies renouvelables. Certains développeurs s’estiment “chanceux”, pour reprendre les propos de Wassima Belhadri, chargée d’exploitation chez JPEE. Même son de cloche chez EDF Renouvelables, H2air et ...

Accédez à l'article complet

GreenUnivers, le média des professionnels de la transition énergétique.

Je m'abonne
  • Une veille quotidienne de l'actualité
  • Des baromètres et data exclusifs depuis 2008
  • Des invitations à nos conférences
Déjà abonné ?
Je me connecte
Engie Green. Il n’y a pas d’incident majeur au moment où nous publions, aussi bien dans l’éolien terrestre qu’en mer. Le parc de Saint-Nazaire, mis en service en 2022, essuie sa première tempête sans encombre. Même chose pour les éoliennes encore en construction de Saint-Brieuc.
(Crédit : JPEE)

Sur 520 éoliennes actives, Energieteam recense ainsi 20 mises en sécurité et 7 pannes minimes déjà résolues. Boralex annonce aussi des actifs indemnes mais précise que “nos équipes maintiennent un monitoring et une surveillance attentive et permanente”. Les turbines ont souvent pu être remises en production une fois que les vents ont baissé, lorsque l’état du réseau électrique le permettait. Pour rappel, les machines se mettent en drapeau lorsque les vents atteignent une certaine vitesse, aux alentours de 90 km/h pour les parcs à terre.

Les réseaux touchés par la tempête 

Des coupures de réseaux sont néanmoins à relever aussi bien pour les parcs éoliens que les centrales solaires. Energieteam en compte cinq et JPEE signale de nombreux défauts sur ses installations photovoltaïques en majorité. “La différence s’explique probablement par la géographie, nos parcs éoliens se situent dans les terres en Beauce tandis que nos centrales solaires sont plus proches de la Bretagne”, précise Wassima Belhadri.

D’autres impacts pourraient être découverts dans les jours à venir. Alexis Assurances, un courtier spécialisé dans les énergies renouvelables, relève, entre autres, des ombrières déformées par le vent. La chargée d’exploitation de JPEE n’exclut pas une “baisse de production d’une centrale solaire, en raison d’un panneau cassé par exemple”, ce qui sera précisé lors des inspections de techniciens. 

...

Accédez à l'article complet

GreenUnivers, le média des professionnels de la transition énergétique.

Je m'abonne
  • Une veille quotidienne de l'actualité
  • Des baromètres et data exclusifs depuis 2008
  • Des invitations à nos conférences
Déjà abonné ?
Je me connecte
Article précédentMaPrimeRénov’ en manque de travaux à financer
Article suivantPlongée boursière d’Orsted : peu de risque de contagion