Dans les documents d’aménagement du territoire prévoyant des projets photovoltaïques en milieu agricole, par exemple dans les Plans locaux d’urbanisme (PLU), attention à ne pas mélanger le solaire compatible avec une activité agricole et l’agrivoltaïsme, prévient Xavier Permingeat, directeur d’activité photovoltaïque du développeur-exploitant Unite, dans un communiqué récent. Il constate que l’expression “PV autorisé si agrivoltaïque” est parfois utilisée dans les PLU, alors qu’est en fait envisagée la deuxième catégorie de projets prévue par l’article 54 de la loi Aper*.
Ce solaire agri-compatible a les faveurs d’Unite, car il produit selon lui une électricité décarbonée et compétitive, sans subventions et générant à coup sûr un revenu pour l’exploitant agricole.
Eviter la spéculation foncière
Les décrets en préparation par le ministère de la Transition énergétique devront préciser les deux conceptions prévues par la loi. Pour sa part, France Agrivoltaïsme ne les a pas attendus pour ...
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