Equinor veut investir 23Mds$ dans les EnR d’ici 2026

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©Unsplash

En vue de l’assemblée générale de ses actionnaires, l’énergéticien norvégien Equinor formalise sa stratégie d’investissement et de décarbonation à l’horizon 2050, présentée en juin 2021. Il affiche sa volonté de devenir un « acteur mondial de premier plan » dans l’éolien offshore et maintient son objectif de neutralité carbone en scope 1, 2 et 3 en 2050. Le plan sera soumis ...

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à un vote consultatif le 11 mai, lors de l’assemblée.

Des objectifs anticipés

Le document publié par l’énergéticien relève ses ambitions dans les renouvelables, en anticipant de cinq ans le calendrier prévu en 2020. Il vise 12-16 GW de capacité installée (0,7 GW d’aujourd’hui) à atteindre d’ici 2030 et non plus 2035. Pour ce faire, Equinor prévoit d’investir 23Mds$ (21,7Mds€) dans les EnR d’ici 2026 en visant un retour sur investissement compris entre 4 et 8%. L’Europe de l’Est et l’Asie de l’Est sont indiquées comme territoires à fort potentiel pour l’éolien en mer, mais Equinor assure vouloir se développer aussi dans d’autres secteurs. Sa participation dans le développeur britannique de solutions de stockage Noriker Power est citée à titre d’exemple. L’entreprise indique vouloir dédier 50% de son capex aux renouvelables en 2030.

Pour l’hydrogène, Equinor ambitionne de détenir 10% du marché européen d’ici 2035. L’énergéticien est déjà engagé dans le projet NortH2 aux Pays-Bas, aux côtés de l’allemand RWE et du consortium formé par Shell, Groningen Seaports et Gasunie, auquel s’est récemment ajouté le néerlandais Eneco. C’est le seul projet d’hydrogène vert figurant dans son portefeuille, les autres proposant des solutions d’hydrogène bleu. Ce dernier est obtenu en brûlant du gaz naturel tout en capturant le CO2 émis, technologie qu’Equinor développe. Les projets visent des complexes industriels basés surtout au Royaume-Uni et en Norvège, avec quelques projets en Allemagne, au Benelux ou aux Etats-Unis.

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