Face au changement climatiques et à l’ampleur du déficit d’eau attendu en 2050 sur le bassin Adour-Garonne, des retenues hydroélectriques pourraient servir pour le soutien d’étiage. Selon un rapport, du Conseil général de l’environnement et du développement durable (CGEDD) et du Conseil général de l’alimentation, de l’agriculture et des espaces ruraux (CGAAER) paru le 15 septembre, 20 à 30% des réserves d’hydroélectricité (appartenant à 80% à EDF) pourraient servir pour l’irrigation et la préservation de la biodiversité. Cela conduirait à une indisponibilité ...
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