
Le plan de restructuration de General Electric (GE) en France se précise. Le conglomérat américain compte y supprimer 500 emplois, dont 80 sur son site nantais dédié à l’éolien offshore. GE s’est empressé de réduire la masse salariale en France une fois libéré de ses obligations contractées dans le cadre de l’acquisition de la branche énergie d’Alstom. Une opération qui a pris une dimension d’affaire d’Etat suite aux confidences d’un ancien haut cadre de l’ancien fleuron industriel français.
GE a créé 25 emplois sur les 1 000 prévus
General Electric souhaite utiliser la rupture conventionnelle collective, instaurée par les ordonnances Macron de septembre 2017, pour se séparer d’environ 500 employés, dont ...