SolarCity n’en finit pas d’innover pour trouver les fonds nécessaires à son développement. La start-up californienne, qui règne sur 32 % des toits solaires résidentiels des Etats-Unis, doit en effet financer l’installation de panneaux, un investissement qu’elle n’amortit qu’au fil des années grâce aux redevances mensuelles que lui versent ses clients.
Quelques semaines après la toute première obligation indexée sur des contrats de vente d’électricité solaire SolarCity s’apprête à lancer un autre produit financier, à destination des particuliers auxquels elle souhaite offrir les mêmes possibilités qu’aux banques, fonds d’investissement et grandes entreprises (dont Google) qui ...