BP et Shell ont mis un bémol à leurs ambitions dans la transition énergétique, lors de la revue d’activités effectuée à l’occasion de la présentation de leurs résultats annuels. Le géant britannique du pétrole et du gaz revoit à la baisse son objectif de réduction des émissions de CO2, passé de 35% à 40% en 2030 à une cible située entre 20% et 30%.
Quant à Shell et même s’il réitère son orientation « net zero » en 2050, il ne prévoit plus d’augmenter ses investissements dans les énergies renouvelables et les solutions énergétiques, en inflexion d’un mouvement ranimé après l’Accord de Paris et ...