L’énorme loupé de l’Opecst sur l’hydrogène

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(c) Pixabay

*Article modifié le 25 mai 2021 pour ajouter les précisions de Cédric Villani, président de l’Opecst.

Dans le petit milieu des énergies renouvelables, la note du très respecté Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (Opecst) sur les modes de production de l’hydrogène n’est pas passé inaperçue. Particulièrement la partie sur les moyens de production d’électricité « chimériques » jugés nécessaires pour atteindre les objectifs en matière d’hydrogène renouvelable. Problème, certains calculs sont totalement farfelus. Gérard Longuet, auteur de la note et premier vice-président de l’Opecst, admet un loupé.

Un facteur de 1 à 17

Gérard Longuet calcule « qu’un million de tonnes d’hydrogène renouvelable à produire en 2024 représente respectivement au moins 15 000 éoliennes terrestres ou 800 000 hectares de photovoltaïques », des chiffres impressionnants qui ont fait tiquer, particulièrement sur le solaire. En effet, si l’on reprend ...

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