Lancé pour répondre aux demandes de la Commission européenne, l’appel d’offres dit bi-technologique, c’est-à-dire éolien et solaire, prévu pour septembre 2018 et sur des capacités de 5 à 18 MW, sélectionnera les projets selon le seul critère du prix au MWh. Les centrales photovoltaïques devraient donc être massivement privilégiées. « Cette compétition ne laissera pas de place à l’éolien, prévoit Paul-François Croisille, directeur général adjoint de Neoen et familier des compétitions sur ce modèle à l’international. Les grands projets éoliens seront absents, du fait de la limite de puissance à 18 MW. Et ceux de capacité moyenne aussi, car ils bénéficient d’un guichet ouvert, à un tarif supérieur au prix de marché du solaire. »
Une compétition peu “contraignante”
Les développeurs français vont puiser en priorité dans ...
Accédez à l'article complet
GreenUnivers, le média des professionnels de la transition énergétique.
Je m'abonne
Déjà abonné ?
Je me connecte