Eole-RES met son nom en ligne avec sa stratégie

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EN BREFC’est la fruit logique d’une évolution stratégique : Eole-RES a décidé de se rebaptiser RES, du nom de sa maison mère britannique, pour mieux incarner sa nouvelle dimension d’acteur multi-énergies. Très présent dans l’éolien dont il fut l’un des pionniers, le groupe a décidé en 2014, au niveau international, d’accentuer sa diversification en définissant cinq axes stratégiques : éolien, solaire, stockage, effacement et réseaux.

“L’objectif, à terme, est que ces nouvelles activités représentent environ un tiers du chiffre d’affaires de RES (900 M€ en 2014), qui repose actuellement sur l’éolien, à 90%”, avait expliqué Jean-François Petit, en charge de l’offshore et des nouvelles technologies, à GreenUnivers en juin dernier. En fonction des zones, les priorités pourront varier. Ainsi, dans le domaine des réseaux, c’est surtout le marché américain qui est visé dans un premier temps.

En France, RES est à l’origine de 630 MW installés ou en construction dans l’éolien terrestre et le solaire. Elle est aussi impliquée dans l’éolien offshore, via le consortium Ailes Marines qui a remporté le parc de Saint-Brieuc (496 MW) lors du premier appel d’offres français. Et la société est en train de se positionner dans l’effacement avec la création d’une co-entreprise avec la start-up britannique Reactive Technologies, spécialiste de l’effacement semi-diffus dont sa maison mère est actionnaire.

 

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