En bref : Google, Capenergie…

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France

  • Fonds d’investissement

Le Crédit Agricole garde Capenergie, son fonds dédié aux énergies renouvelables. Si la banque cède sa filiale de capital investissement, Crédit Agricole Private Equity, au fonds Coller Capital, son FCPR Capenergie n’est pas concerné par cette vente. Lancé dès 2006, Capenergie 1 (doté de 109 M€) est présent dans près de 20 entreprises, dont Urbasolar, Weole, Neoen ou encore Exosun. Son successeur, Capenergie 2, a déjà réalisé un closing intermédiaire de 120,5 millions d’euros mi-2011 et espère récolter jusqu’à 200 M€.

International

  • Photovoltaïque

Google va investir 94 millions de dollars, en collaboration avec le fonds Kohlberg Kravis Roberts (KKR), dans quatre projets photovoltaïques que construit la société Recurrent Energy en Californie. La capacité totale de ces installations sera de 88 MW, de quoi alimenter 13.000 foyers. C’est le premier pas du géant américain de l’internet vers des grandes centrales au sol. Il avait jusqu’à présent investi dans des toits solaires. Depuis le début de l’année, Google a investi plus de 880 millions de dollars dans des projets d’énergies renouvelables. Ses participations ne sont pas toutes fructueuses : en novembre, le groupe a dû se retirer du solaire thermique.

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