« Cela aurait pu faciliter certaines choses, mais ce n’est pas une défaite majeure », relativise Simon Pujau, responsable des relations institutionnelles de l’association France Hydrogène, interrogé sur la modification de l’article 4 du projet de loi sur les énergies renouvelables consacré à la raison impérative d’intérêt public majeur (RIIPM). L’hydrogène et les gaz bas carbone n’y figurent plus, selon toute vraisemblance et après les négociations du texte en commission mixte paritaire, à la demande du Parti socialiste en particulier.
Moins exposé que le solaire ou l’éolien
Convoitée par d’autres filières EnR, notamment l’éolien, car ...