
Alors que les partis politiques italiens se préparent a une campagne électorale estivale en vue des élections anticipées du 25 septembre, le monde des EnR s’inquiète de voir les avancées entamées sous le gouvernement de Mario Draghi reportées sine die.
Dans une communication envoyée à ses ministres peu après sa démission, le Président du Conseil affirme que le gouvernement pourra approuver dans l’interim des mesures pour faire face à des situations d’urgence, ce qui inclut la crise énergétique, et adopter des textes qui ont déjà bien avancé. Saluant cette lueur d’espoir, le quotidien QualEnergia observe cependant que « ces actions impliquent des choix politiques » et qu’il est improbable qu’elles soient menées à bien dans une période réservée aux affaires courantes.
Eolien offshore en attente
La presse transalpine s’alarme ...