Noms d’oiseaux en ligne, référés multiples pour cause de dénigrement, plaintes croisées au pénal et réclamations sur des dizaines et même centaines de millions d’euros. Entre le français Innovent et le canadien Boralex, l’ambiance est des plus lourdes. Du jamais vu dans la filière des énergies renouvelables, en tous cas en France. Le développeur tricolore n’hésite pas à se demander publiquement, sur son site internet, si le président de Boralex Patrick Decostre est « diabolique ou demeuré » et à le caricaturer graphiquement dans un document dont le groupe québécois a demandé le retrait ...