« Les aides actuelles ne permettent pas de rendre économiquement viables les rénovations globales. Après déduction de MaPrimeRénov’, des CEE et des aides de l’Anah, le reste à charge des rénovations globales est généralement prohibitif », a calculé I4CE dans un travail de recherche consacré à la rénovation énergétique intitulé PanelRenov’*.
L’institut, qui a l’oreille des pouvoirs publics, fait le constat que les aides ne couvrent que 20% à 40% du coût total des rénovations sérieuses, de niveau BBC, soit 42 000€ pour une maison de 110 m² par exemple. Même en recourant à un emprunt comme l’Eco PTZ, le reste à charge reste ...
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