Les autorités françaises suivent de près l’évolution de la pollution engendrée lors des travaux de construction du parc éolien en mer de Saint-Brieuc le 14 juin dernier. Des avions des douanes et des navires de patrouille ont détecté hier encore une légère irisation de l’eau et ont réalisé des prélèvements. L’Aeolus, le navire responsable de la fuite d’huile, a pu regagner hier son port de Vlissigen aux Pays-Bas. Chantier et enquête se poursuivent.
Irisation résiduelle
Le lendemain de la fuite, la préfecture se montrait rassurante. Un Falcon 50 de la Marine nationale avait survolé la baie de Saint-Brieuc et observé que ...
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