
Concevoir l’éolienne flottante pour que sa fabrication soit la plus automatisée possible et le coût final de l’énergie le plus bas : c’est le sens qu’il faut donner à l’étude conjointe menée par Eolink et Kranendonk, fabricant néerlandais de robots depuis 1983 et spécialiste, entre autres, de l’automatisation dans la construction navale, avec des robots soudeurs par exemple. Kranendonk dispose aussi d’un savoir-faire logiciel pour modéliser les lignes de production et chiffrer les temps et les coûts.
Pour sa part, le fabricant français fondé en 2015 à Plouzané (Finistère), adepte de la solution d’une grosse turbine sur un petit flotteur, compte s’inspirer le plus possible des méthodes actuelles de construction navale pour produire son appareil quadripode. Il est désormais prévu sur ...