
Voltalia va quitter la Birmanie, théâtre d’un coup d’Etat militaire en février et d’une répression sanglante depuis. Le développeur-producteur y est présent depuis 2018. Il y a décroché en tant qu’Esco (entreprise de services énergétiques) un contrat avec le réseau MNTI (Myanmar National Telecom Infra) qui met ses tours telecoms à la disposition de MyTel, un opérateur de téléphonie détenu par l’armée birmane, par des entreprises privées et par VietTel, un homologue vietnamien dirigé par le ministère de la Défense de Hanoï.
L’accord prévoyait que Voltalia fournirait une puissance de 2 kW à 171 sites dont 80% isolés du réseau, avec des panneaux solaires, des batteries et des générateurs au diesel. Le français en alimente aujourd’hui ...