Sur quoi travaille France Energies Marines, doté d’un budget en hausse ?

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(Crédit : Eolfi)

Une enveloppe potentielle annuelle en forte augmentation, passant de 3 M€ à 5,4 M€ et ce jusqu’en 2024 : le centre de recherche public-privé France Energies Marines (FEM) bénéficie de perspectives renforcées. Le qualificatif peut s’appliquer aux marques de confiance que lui témoignent l’Etat, qui promet une dotation de 15,8 M€, et ses membres – EDF, RTE, Engie, Naval Energies, Eolfi, Arkolia, Innosea, les régions Normandie, Bretagne, Sud, les pôles Mer de l’Atlantique et de la Méditerranée… -, lesquels sont incités à mettre la même somme au pot. Soit 32 M€ en tout, qui couvrent la période 2019-2024. Ils pourront financer et accélérer les programmes pluriannuels de R&D mutualisée animés par les 45 collaborateurs de cet institut pour la transition énergétique basé à Brest, au moment où les énergies marines et particulièrement l’éolien marin flottant prennent une nouvelle dimension.

Une dizaine de programmes de recherche sont à l’étude ou en cours dans quatre domaines : la caractérisation des sites, la technologie, l’optimisation des parcs et les impacts. Mais en pratique, sur quoi portent les travaux ? Yann-Hervé De Roeck, directeur général, prend l’exemple de ...

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