L’érosion des pales des turbines offshore va être étudiée par une équipe de six développeurs/producteurs : les Français EDF (initiateur du groupe) et Engie, les Américains Duke et Kruger, et les Allemands Innogy et E.ON. Ils comptent partager leurs données de parcs situés partout dans le monde. Les informations seront centralisées dans une base de données gérée par le site d’exploitation britannique Offshore Renewable Energy (ORE) Catapult. Ce dernier s’était déjà penché sur le sujet en 2015.
Plusieurs données testées
Les participants ...