Qui sont les start-up européennes de l’énergie durable ? [Etude]

Print Friendly, PDF & Email

Une start-up active dans l’efficacité énergétique, qui arrive au stade des premières ventes, emploie moins de 5 salariés et a réalisé récemment une levée de fonds : voici la carte d’identité des start-up européennes de l’énergie durable, selon une enquête réalisée en 2018 conjointement par InnoEnergy* auprès de 83 jeunes sociétés de 12 pays européens (hors France), et GreenUnivers auprès de 54 jeunes sociétés françaises via un questionnaire. Alberto Lopez, Innovation Ecosystem Manager d’InnoEnergy, et Jordi Lopez, Business Creation Manager, commentent les résultats.

GreenUnivers : Quels sont les principaux objectifs de cette enquête européenne ?

Alberto Gonzalez : L’E-observatoire InnoEnergy vise à mesurer l’impact des nouvelles entreprises dans le domaine de l’énergie durable, sur une base annuelle, avec l’aide de partenaires dans les principaux pays d’Europe comme GreenUnivers en France. InnoEnergy aura ainsi une idée précise de l’impact des ces jeunes pousses en termes de création d’emplois, brevets, levées de fonds, etc. À partir de données provenant de différents pays, les start-up seront en mesure d’analyser leurs forces et faiblesses par rapport à des sociétés similaires. À un niveau agrégé, les données peuvent être comparées par pays, portefeuille… afin d’identifier les meilleures pratiques et les domaines d’amélioration.

L’efficacité énergétique est le secteur le plus actif en France comme dans les autres pays européens

GU : Selon l’enquête, l’efficacité énergétique arrive en tête des secteurs en France et dans les autres pays européens : comment expliquez-vous ce résultat ?

Jordi Lopez : L’efficacité ...

Accédez à l'article complet

GreenUnivers, le média des professionnels de la transition énergétique.

Je m'abonne
  • Une veille quotidienne de l'actualité
  • Des baromètres et data exclusifs depuis 2008
  • Des invitations à nos conférences
Déjà abonné ?
Je me connecte
 

Article précédentBatteries : 5 à 6 Mds€ pour un premier consortium européen
Article suivantL’agenda du green business