
Le secteur hydrolien français a beau être plongé dans l’incertitude, comme en témoignent les inquiétudes encore manifestées publiquement aujourd’hui par le Syndicat des énergies renouvelables, les places laissées libres par les pessimistes ne le restent pas longtemps. En juillet, Naval Energies avait annoncé son retrait total du secteur, après avoir inauguré une usine un mois et demi auparavant à Cherbourg. Aujourd’hui, la région Normandie, par l’intermédiaire de son fonds Normandie Participations, annonce préparer une alliance avec le développeur hydrolien britannique Simec-Atlantis. Elle prévoit d’investir dans une coentreprise, Normandie Hydrolienne, dont Simec-Atlantis aura la majorité.
Simec-Atlantis vise 100 MW
La région veut « relancer la filière industrielle hydrolienne et ...