Quel avenir pour l’hydrolien français, après le renoncement de Naval Energies ?

Print Friendly, PDF & Email
(Crédit : Sabella)

« Nicolas Hulot a tué une filière d’avenir pour les énergies marines renouvelables (EMR) », s’indignait hier soir Benoit Arrivé, maire de Cherbourg-en-Contentin, interrogé par La Manche Libre. Une colère consécutive à l’abandon par Naval Energies de ses activités dans l’hydrolien, ce qui entraîne l’arrêt de l’usine de Cherbourg dont Naval Energies était locataire. Avec d’autres mots mais le même message, Laurent Schneider-Maunoury, président de Naval Energies, a lui aussi désigné l’absence d’appels d’offres à grande échelle et avec subventions comme le motif principal du retrait, affirmant que sa société aurait rapidement proposé un prix de 150 €/MWh.

« L’hydrolien s’en remettra »

Après le retrait d’Engie du secteur début 2017, l’hydrolien français a-t-il fait hier  ...

Article précédentNeoen franchit le cap de 1 GW en Australie
Article suivantL’agenda du green business