
Soulagement pour les développeurs de parcs éoliens. Jeudi 26 juillet, le Conseil d’État a décidé que l’autorisation environnementale de 2017 les obligeant à assurer qu’ils disposent de moyens suffisants pour mettre en oeuvre leur projet, ne serait pas rétroactive. L’avis, publié le 29 juillet dans le Journal Officiel, fait suite à la saisine du Tribunal administratif de Lille en décembre 2017, lui-même saisi le mois d’avant par l’association « Non au projet éolien de Walincourt-Selvigny et Haucourt-en-Cambrésis ». La structure protestait contre la mise en place du parc du Bois de Saint-Aubert, à cheval sur les deux communes du Nord. Les six éoliennes de 2 MW avaient été validées par la préfecture de l’ex-région Nord-Pas-de-Calais-Picardie en janvier 2016.
Pour arrêter le projet de la SAS Vents du Sud Cambrésis, ...