Un peu plus de deux ans après sa création à l’initiative de Ségolène Royal, la GreenTech verte organisait hier ses deuxièmes rencontres à Paris. Pilotée par le Commissariat général au développement durable, l’initiative a déjà accompagné 120 jeunes pousses, leur offrant un soutien financier et une gamme de services. Une formule qui évolue avec l’annonce de la création d’un label “GreenTech verte” : les projets sélectionnés ne recevront plus d’argent mais toujours un accompagnement, explique Laurence Monnoyer-Smith, Commissaire générale au développement durable, à GreenUnivers.
GreenUnivers : Quel bilan, dressez-vous de la GreenTech verte deux ans après son lancement ?
Laurence Monnoyer-Smith : Deux appels à projets ont permis de sélectionner 120 jeunes pousses, très early stage, sur plus du double de candidats. Nous ...
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