La petite hydroélectricité de nouveau attractive

Print Friendly, PDF & Email
© Ademe

Parent pauvre des énergies renouvelables, la petite hydroélectricité n’a pas dit son dernier mot. Cette filière, qui représente environ 10% de la production hydraulique en France, suscite un intérêt de plus en plus vif chez certains développeurs. Témoin Cap Vert Energie (CVE), qui va en faire son troisième domaine d’activité, avec le solaire et le biogaz. La société vise un portefeuille de 20 MW dans cinq ans, par rachat de centrales essentiellement, au moins pour démarrer.

Besoin d’industrialisation

« Composée surtout de producteurs autonomes, la petite hydroélectricité a besoin de s’industrialiser », estime Jean-Baptiste Sallé, qui vient de rejoindre CVE en tant que directeur de l’hydroélectricité. Des centrales vieillissantes, de fortes exigences administratives et environnementales (la modernisation des passes à poissons, notamment), un mécanisme de soutien considéré comme attractif et une production assez complémentaire du solaire : autant de raisons qui incitent CVE ...

Accédez à l'article complet

GreenUnivers, le média des professionnels de la transition énergétique.

Je m'abonne
  • Une veille quotidienne de l'actualité
  • Des baromètres et data exclusifs depuis 2008
  • Des invitations à nos conférences
Déjà abonné ?
Je me connecte

Article précédentAO PV bâtiments : la CRE veut accélérer la baisse du tarif moyen
Article suivantD’ici 2030-2050, la demande d’énergie diminuera en France et en Europe [Étude]