La mobilité, angle mort du débat sur la PPE

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(Crédit : Park’n plug)

À propos de la programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE), Nicolas Hulot reconnaissait fin mars avoir une certitude : “l’avenir du secteur énergétique sera décentralisé et smart”. Mais le ministre de la Transition écologique et solidaire avouait en même temps s’interroger “sur la rapidité avec laquelle le stockage va se développer”, “sur le rythme de déploiement des véhicules électriques et de la recharge intelligente” et “sur le rôle de l’hydrogène dans notre système électrique”. Le point commun à tous ces sujets ? L’évolution du secteur des transports.

Gaz ou électricité ?

Dans ce domaine, les options technologiques sont multiples. Dans l’hydrogène, les professionnels tablent sur 10 000 véhicules H2 sur les routes françaises en 2023 et même 200 000 en 2028. Dans le biogaz, le biométhane carburant apparaît comme l’un des débouchés porteurs. Et dans les deux cas, les filières affûtent leurs arguments pour se faire une place dans les discussions sur la PPE. D’autant qu’elles font face à la concurrence des batteries, priorité industrielle du gouvernement français et de la Commission européenne.

Quel sera au final le point d’équilibre entre ces différents carburants dits “alternatifs” ? A l’heure où les controverses sur la PPE se focalisent sur le mix de production d’électricité, l’avenir de la mobilité fait encore figure de grande inconnue. Le 10 avril, ...

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