Ses promesses sont aussi vastes que ses incertitudes. L’autoconsommation va à n’en pas douter faire les délices, pendant un certain temps, des juristes d’affaires et des cabinets de conseil. Le développement de projets y supposerait en effet une nouvelle vision des choses, en particulier sur l’investissement. « C’est un marché de banquiers créatifs », formulait Sylvie Perrin, associée du cabinet d’avocats d’affaires De Gaulle Fleurance et associés, lors d’une réunion organisée vendredi dernier à l’attention des développeurs, en partenariat avec Finergreen.
Vers des foncières “mixtes” ?
En l’état actuel de la réglementation, et alors qu’Enedis travaille sur une convention de raccordement prête dans quelques semaines et la CRE sur le tarif réseau, l’autoconsommation à la française rebat les cartes du financement de projets. Le tout premier sujet ? La qualité de la « contrepartie », ie l’autoconsommateur. S’il s’agit d’une entreprise, que peut-on savoir de ...
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