L’énergéticien allemand EWE, basé à Oldenburg (Basse-Saxe), et l’université Friedrich Schiller de Iéna (Thuringe) travaillent sur un méga-projet de stockage d’électricité à l’intérieur d’anciennes mines de sel, capable d’alimenter Berlin pendant une heure. Le procédé est fondé sur la technologie redox flow, avec des composants organiques. A la différence des batteries classiques, les électrolytes redox flow sont circulants et situés dans deux réservoirs à l’extérieur de la batterie elle-même. Les carrières de sel, de la taille d’une cathédrale, joueraient ce rôle. Elles servent à l’heure actuelle de ...
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