Spécial Cop22 : quelle place pour les acteurs français des EnR au Maroc ?

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logo-cop22-919x650Le Maroc accueille la prochaine conférence internationale sur le climat de l’ONU, du 7 au 18 novembre à Marrakech. A quelques jours de l’ouverture de cette Cop22, GreenUnivers publie une série d’articles sur ce pays en pleine transition énergétique. Après l’interview de Mustapha Bakkoury, président du directoire de Masen, et un focus sur l’émergence de la filière solaire dans le pays, ce troisième volet s’intéresse aux perspectives pour les acteurs français – 

Au-delà de ses objectifs 2020, le Maroc vise l’installation de 10 GW supplémentaires d’ici 2030 pour atteindre 52% de son mix énergétique à partir du renouvelable. Une ambition forte qui aiguise l’appétit des sociétés françaises.

Déception lors des premiers appels d’offres

La première vague des gros appels d’offres lancés dans le solaire a laissé les opérateurs tricolores sur leur faim. La technologie du solaire à concentration requise par le cahier des charges du complexe Noor de Ouarzazate a desservi des opérateurs français traditionnellement plus en pointe sur le photovoltaïque. Les marchés des centrales CSP Noor I, II et III ont été remportés tous les trois par le saoudien Acwa Power, en consortium avec la société espagnole Sener, sur la base d’offres financières très compétitives. Et sous couvert de liens politiques et économiques étroits entre le Maroc et l’Arabie saoudite, là où la diplomatie économique ...

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