
Depuis le 1er janvier dernier, c’est officiellement le début de la fin pour le renouvelable subventionné. La transition, tout juste entamée, doit permettre de quitter progressivement le cocon des tarifs d’achat garantis pour se frotter aux mécanismes de marché. La mise en place du complément de rémunération – phase transitoire à durée indéterminée – est sur le point de remodeler le secteur avec encore beaucoup, beaucoup d’interrogations à la clé. Quelle matrice de risque ? Quelle place pour les agrégateurs ? Quel impact sur la structuration des projets ? etc.
L’impact de cette “nouvelle donne” était au coeur de la 3e conférence de GreenUnivers sur le financement des projets d’énergies renouvelables, organisée en partenariat avec le Syndicat des énergies renouvelables et EY. Nous en publions le compte-rendu dans une série d’articles.
Table ronde
“Nouvelle donne pour le financement des projets EnR”
Damien Mathon, délégué général du SER,
Sylvie Perrin, avocate associée au cabinet De Gaulle Fleurance & Associés,
Gilles Lebreux, président de Langa,
Alain Desvigne, directeur opérationnel d’Amarenco Solar
Olivier Masseran, directeur adjoint du département Financement, Energies et Territoires d’Unifergie (groupe Crédit Agricole)
Etudes de cas
- Quel rôle pour les fonds régionaux dans l’accompagnement de la transition énergétique ? L’exemple d’Oser, par Benoît Lemaignan, directeur des investissements du fonds Oser, d’Auvergne Rhône-Alpes.
- Structurer un green bond pour le refinancement d’un projet EnR, par Nicolas Rochon, fondateur de RGreen Invest
- Financer un projet de biométhane intégré au réseau, par Cédric de Saint Jouan, président de Vol-V
Focus international
- Le montage d’un projet éolien au Monténégro, par Olivier Leruste, directeur des financements de projets d’Akuo Energy
- Les gigantesques opportunités du marché indien, par Sébastien Rondel, directeur des financements de projets d’Eren