On les appelle les « mines urbaines », ces déchets électriques et électroniques qui cachent sous leur carcasse des métaux souvent précieux. La société basque Bigarren Bizi s’est spécialisée dans un gisement particulier, les cartes électroniques, avec un procédé de traitement innovant sans recours aux voies chimiques ou thermiques habituellement utilisées. Alors qu’elle met en route près de Bordeaux sa première usine de traitement, elle vient de boucler une première augmentation de capital de 2 millions d’euros auprès d’ ...
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