La mobilité hydrogène se frotte au réel dans les taxis parisiens

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(Crédit : Air Liquide)
(Crédit : Air Liquide)

Mathieu Gardies a fait son choix : plutôt la pile à combustible que les batteries. Cofondateur de la Société des taxis électriques parisiens (Step) en 2009 et désormais seul dirigeant, il a d’abord géré une flotte de Citroën C-Zéro et s’est trouvé confronté aux aléas de la recharge, à la difficulté de trouver des prises compatibles sur les bornes, sans compter un parcours d’obstacles réglementaires. Résultat : « nous avons essuyé plusieurs faux départs dans le taxi sur batteries. Quand Hyundai a annoncé un véhicule de série à l’hydrogène, la Hyundai ix35, j’ai su que le créneau du taxi électrique était enfin ouvert », explique Mathieu Gardies.

« Les clients sont là »

Début décembre 2015, la Step a ...

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