Officiellement, Pékin et Bruxelles se sont serrés la main cet été, enterrant la hache de guerre sur les panneaux chinois après plusieurs mois de conflits. Mais le compromis, censé réparer cinq années de dumping agressif tout en rétablissant l’équilibre des forces entre Chine et Europe, n’a pas été accepté par une cinquantaine d’entreprises chinoises. Pour la peine, elles subiront des taxes anti-dumping et anti-subventionnement allant de 47,7 à 64.9 % à l’entrée de l’UE, ...