Accusant des déficits colossaux, le chinois LDK, n°2 mondial des wafers de silicium pour cellules solaires, a vendu 20% de son capital à un consortium chinois largement contrôlé par la ville de Xinyu, pour le montant dérisoire de 23 millions de dollars, ce qui le valorise à moins de 140 M$. Une descente aux enfers pour un groupe qui brillait en 2010, et où, entre autres, avait investi le français Natixis.
Le montant ...