Les temps sont durs pour le numéro un mondial de l’éolien Vestas, pénalisé par la montée en puissance de l’Asie, paralysé par de mauvais résultats et affaibli par des changements à sa tête. Plier dans la tempête mais ne pas rompre semble être son credo : le groupe se déleste d’actifs non stratégiques, tout en évitant un plan social douloureux pour l’une de ses usines au Danemark. Le groupe vend à un puissant industriel chinois les mâts de son site industriel de Varde, situé dans le complexe portuaire d’Esbjerg, premier port danois pour l’éolien offshore et l’un des deux plus grands d’Europe. L’acquéreur est le groupe ...