Ils étaient de nombreux groupes français à avoir répondu à l’appel à manifestation d’intérêt (AMI) lancé par le Maroc en mars 2010 pour le méga-projet solaire de 500 MW près de Ouarzazate. Puis fin 2010, avec une quinzaine d’autres regroupements, 5 consortiums composés de français avait été sélectionnés dans l’avant-dernière ligne droite de la sélection pour construire la première tranche de cette centrale. Malheureusement, ...