Le géant industriel américain United Technologies avait sauvé de la faillite, fin 2009, le premier fabricant d’éoliennes coté à Londres, le groupe Clipper, alors en panne de financement, en reprenant 49,5% du groupe pour 166 millions de livres (270 millions de dollars au cours de change de l’époque). Il s’est finalement offert le reste du capital de Clipper, en fait américano-britannique puisque son siège est dans l’Iowa, pour moitié moins cher : ...
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