« Notre reconversion a été très douloureuse, mais nous avons réussi », affirme Marc Vergnet, PDG du groupe qui porte son nom, le seul fabricant français de turbines éoliennes. Centré sur le marché de niche des éoliennes « tous risques » — où il fait face à très peu, voire pas, de compétiteurs (*) — Vergnet a un carnet de commandes fourni et compte sur deux moteurs supplémentaires pour assurer sa croissance : le nouveau marché de l’énergie décentralisée, baptisé Proxwind, et ...