Crowdfunding & cleantech : le vrai du faux

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vrai-faux-bullesVenu tout droit du monde associatif et culturel, le crowdfunding ou financement participatif fait sa petite révolution dans le monde de l’entreprise. A côté des modes de financement traditionnels, il séduit de plus en plus de start-up. Plusieurs jeunes sociétés des cleantech ont récemment levé des fonds via ce nouveau canal telles Canibal (500 000 € levés) et Naio Technologies (700 000 €). Le crowdfunding peut aussi permettre de financer des centrales d’énergies renouvelables comme Valorem l’expérimente dans l’éolien terrestre.

Mais sa popularité grandissante n’efface pas les préjugés qui l’entourent. Aidé par une petite dizaine de spécialistes*, GreenUnivers a entrepris de démêler le vrai du faux dans une série d’articles.

  1. Les chiffres du crowdfunding
  2. Crowdfunding et cadre juridique
  3. Crowdfunding et communication
  4. Crowdfunding : anti business angels ?
  5. Crowdfunding = argent facile ?

* Ont notamment répondu aux questions de GreenUnivers :

  •  Arnaud Desrentes, président d’Exoes
  • Benoît Paget, président fondateur de Canibal
  • Yann Devaux, directeur commercial de Green On
  • Aymeric Barthes, PDG de Naio Technologies
  • Marie Véronique Gauduchon, directrice générale de Lumo
  • Stéphanie Savel, PDG de WiSEED et du réseau de business angels DDIDF
  • Nicolas Lesur, président de Financement Participatif France.
  • Benoît Bazzocchi, président fondateur de SmartAngels et de l’AFIP (association française de l’investissement participatif)
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